LE FRANÇAIS LA DEUXIEME LANGUE OFFICIELLE AU NIGERIA: L’AFFAIRE DE TOUS

Auteurs-es

  • Ifeoma Jane Egwu Departement du Français et des Etudes Internationales Faculté de lettres, Ignatius Ajuru University of Education
  • Confidence Ogwutum Dikeh School of Foundations and General Studies, Captain Elechi Amadi Polytechnic Rumuola

Mots-clés :

français,, deuxième langue officielle, affaire de tous, Nigéria., French,, second official language, everyone’s business, Nigeria.

Résumé

En 1996, feu le général Sani Abacha, ancien président du Nigeria, décide de faire du français la deuxième langue officielle du pays. Depuis cette proclamation officielle, le niveau de compréhension et d'apprentissage de la langue est resté extrêmement faible dans tous les systèmes éducatifs du pays. C'est le résultat du laxisme des Nigérians envers le français et de l'absence d'une politique éducative française à tous les niveaux du système éducatif du pays. L'importance de cette langue pour le Nigeria ne peut être surestimée étant donné qu'elle est encerclée par les nations francophones. Cette communication est une étude empirique qui vise à examiner à la fois l'état actuel des Français au Nigeria et les réformes nécessaires pour que la langue ait une place dans la société linguistique nigériane. À la lumière de la mondialisation et de la communauté linguistique nigériane plus large, cette étude examine l'importance du français en particulier pour les étudiants nigérians. Nous pensons que l'apprentissage du français améliorera les capacités de recherche d'emploi des étudiants nigérians et aidera à surmonter les problèmes de barrières linguistiques entre les communautés francophone et anglophone. Dans cet article, nous soutenons que tout le monde au Nigeria devrait être tenu d'apprendre le français. En effet, le système éducatif nigérian, qui sert de vecteur de transmission au projet, doit tout mettre en oeuvre pour garantir que le français soit enseigné dans toutes les institutions d'enseignement supérieur ainsi qu'à la maternelle.

 

Making French a second official language in Nigeria was a decision made in 1996 by the late General Sani Abacha, the former president of Nigeria. Since Nigeria's proclamation of French as its official language, the country's educational system's instruction and mastery of the language have remained at an extremely low level. This is due to both Nigerians' casual attitude toward the French language and the lack of a French teaching policy at all levels of the educational system. Given that Nigeria is surrounded by francophone nations, the significance of French in that country cannot be overstated. The objective of this article's empirical study is to examine the current state of French in Nigeria and the steps that should be taken to give the language a more prominent place in the nation's linguistic community. The initial focus of this study is on the value of French to Nigerian students, particularly in the context of globalization, and the Nigerian language community as a whole. Our opinion is that learning French will improve students' abilities in their job hunt in Nigeria and help to overcome the linguistic barriers that exist between the francophone and anglophone communities. In this paper, we continue to argue that all Nigerians should be required to learn French. In essence, the Nigerian educational system, which serves as a conduit for this project, should take all reasonable measures to ensure that French language instruction is provided in all schools, from pre-kindergarten through post secondary institutions.

 

 

Bibliographies de l'auteur-e

Ifeoma Jane Egwu, Departement du Français et des Etudes Internationales Faculté de lettres, Ignatius Ajuru University of Education

 

 

Confidence Ogwutum Dikeh, School of Foundations and General Studies, Captain Elechi Amadi Polytechnic Rumuola

 

 

Téléchargements

Publié-e

2023-04-30

Comment citer

Egwu, I. J., & Dikeh, C. O. (2023). LE FRANÇAIS LA DEUXIEME LANGUE OFFICIELLE AU NIGERIA: L’AFFAIRE DE TOUS. Cascades, Journal of the Department of French & International Studies, 1(1), 82–87. Consulté à l’adresse https://cascadesjournal.com/index.php/cascades/article/view/11